Icare

Ancien comédien de la troupe permanente du Théâtre National Populaire pendant treize ans, Julien Gauthier se recentre sur la mise en scène depuis la création du Théâtre du Lyon.

Après Le Rêve Tzigane en 2002, Les chiens nous dresseront en 2009, La bataille est merveilleuse et totale en 2013, Le Menteur en 2017, Le petit prince en 2018, Alpha Kaba en 2020, 3 contes de Grimm en 2022, Jon en 2023 et la reprise de Tristan & Yseult en 2025, Icare sera sa nouvelle création en novembre 2025.

L’attention est portée sur la simplicité, l’équilibre et la narration dans un travail qui allie rythme, justesse et harmonie.

Persuadé que l’art sauvera le monde, il oeuvre avec bonheur à partager des instants de qualité avec le public.

Professeur agrégé de lettres modernes, docteur en sciences de l’éducation, auteur de la thèse : Théâtre et Université. Les effets d’une rencontre, et de nombreuses publications, en France, Belgique, Portugal, Canada, Australie, sur le thème « théâtre/éducation »,  titulaire d’une maitrise en études théâtres, de la certification complémentaire théâtre, d’une certification de l’Ecole Charles Dullin, mention « Direction d’acteurs », ancien membre du conseil d’administration de l’ANRAT, Association nationale de recherche et d’action théâtrale en milieu scolaire et universitaire, membre de la FNCTA, Fédération nationale des compagnies de théâtre amateur : ces éléments « académiques » du profil de Christian Pratoussy  sont à mettre en parallèle d’une vie riche d’expériences du théâtre de plus de 40 ans, avec une première expérience de la scène en 1982, au Théâtre de la Platte, à Lyon, sous la direction de Christian Capezzone. 

En 1991, il crée la Compagnie Amadis, sous l’égide de laquelle il initiera plus tard une option théâtre dans le collège où il enseigne. C’est d’ailleurs dans cette circonstance qu’il va rencontrer Julien Gauthier, artiste en résidence du Théâtre François Ponsard, à Vienne. Ils produiront ainsi ensemble Nous l’Europe. Banquet des Peuples, de Laurent Gaudé, Le ravissement de Scapin, de Paul Claudel, Entre les Murs, d’après François Bégaudeau. 

En parallèle de ses activités scolaires, il complète ses expériences dans le domaine du jeu (atelier de pratique artistique au TNP ; atelier de théâtre amateur du Théâtre François Ponsard) et dans celui de la mise en scène (stagiaire sur Cannes 39-90 d’Etienne Gaudillère, à la Comédie de Saint-Etienne).   

Aujourd’hui, son engament auprès du Théâtre du Lyon est une nouvelle étape logique de son parcours. Mais pas seulement. Sur le fond, l’essentiel tient à une proximité élective, autant artistique que pédagogique, avec Julien Gauthier, dont il partage une certaine idée du théâtre, qui pourrait faire écho à ce que disait Jean Vilar : « L’art du théâtre ne prend toute sa signification que lorsqu’il parvient à assembler et à unir. »

Pierre Tan Teng Ha est un musicien, chanteur, compositeur et artiste polyvalent, actif depuis plus de quinze ans. Après un baccalauréat en 2002, il a étudié la musicologie à l’Université Lyon 2 et perfectionné son jeu de batterie à l’école de jazz Agostini, où il a obtenu un diplôme avec les félicitations du jury.

Sa carrière débute en 2007 avec le groupe CHARLIE, pour lequel il enregistre des albums et réalise des tournées nationales. Il collabore avec Akim Chaib (Zen Zila) et obtient le statut d’intermittent du spectacle en 2008. Il s’illustre ensuite au sein de projets comme Phenix Country Band, Blue Candies et Happy Days, combinant performances scéniques et enregistrements en studio.

En 2013, il intègre le groupe Ok Press et compose pour le label Koka Media ainsi que des campagnes publicitaires (Maped, RMC). Depuis 2015, il co-dirige le groupe Allo Pop, spécialisé dans l’événementiel, et compose pour des artistes tels que Jenifer et Claudio Capéo.

Pierre joue de plusieurs instruments (batterie, guitare, basse, clavier) et s’est formé à la voix off et au doublage, notamment au studio Miroslav Pilon et au studio Anatole.

Jacques Loucel est un artiste multidisciplinaire passionné par le son et la musique. Formé dès son enfance au piano, il en fait le cœur de son univers musical. Sa carrière débute sur la scène lyonnaise où il devient un claviériste recherché, accompagnant des artistes comme Cavale, Charlie et Karimouche. Enrichi par des tournées en clubs, festivals et grandes scènes, il marque une étape clé en participant à l’émission Taratata.

En 2020, après des années consacrées à sublimer les projets d’autres artistes, il choisit de devenir front-man, développant son propre univers artistique. Parallèlement, il s’illustre en tant que comédien dans des pièces, spectacles musicaux et projets audiovisuels, notamment dans les séries On va s’aimer un peu beaucoup et Cassandre.

Ses récents projets incluent la sortie de son EP L’artificier, des concerts marquants à A Thou Bout d’Chant et à la Salle Léo Ferré, ainsi qu’une tournée de soixante dates avec le spectacle Béni.

Artiste complet et polyvalent, Jacques Loucel brille par sa sensibilité unique, qu’il s’agisse de musique ou de théâtre, se distinguant aussi bien sur des scènes intimistes que sur les grandes scènes internationales.

Ancien comédien de la troupe permanente du Théâtre National Populaire pendant treize ans, Julien Gauthier se recentre sur la mise en scène depuis la création du Théâtre du Lyon.

Après Le Rêve Tzigane en 2002, Les chiens nous dresseront en 2009, La bataille est merveilleuse et totale en 2013, Le Menteur en 2017, Le petit prince en 2018, Alpha Kaba en 2020, 3 contes de Grimm en 2022, Jon en 2023 et la reprise de Tristan & Yseult en 2025, Icare sera sa nouvelle création en novembre 2025.

L’attention est portée sur la simplicité, l’équilibre et la narration dans un travail qui allie rythme, justesse et harmonie.

Persuadé que l’art sauvera le monde, il oeuvre avec bonheur à partager des instants de qualité avec le public.

Madeline Cramard est costumière de théâtre et réside à Lyon. Elle sort de l’ENSATT en juin 2011 en tant que conceptrice costume.

Elle débute comme chargée de production costume à l’opéra de Lyon et continue à l’opéra national de Paris, au Grand théâtre de Genève et au Festival d’Art lyrique d’Aix en Provence en tant que responsable de production costume et assistante costume. Parallèlement, elle assiste les costumiers Madeleine Boyd, Luis F. Carvalho, Agostino Cavalca, Carla Caminati et Violaine Thel en Suisse et en Autriche et à l’opéra de Nancy, de Nantes et de Montpellier.

Elle développe également des créations personnelles en se mettant au service de compagnies de théâtre et de musique : Quatuor de flûtes Ondîne, Compagnie Attrape-Lune, Compagnie de la Presqu’île, Compagnie Kopfkino… Et en intervenant en tant que décoratrice costume au TNP et au Théâtre des Célestins.

Depuis 2020 elle intervient en tant qu’enseignante vacataire artistique à l’Ensatt auprès de la formation ACOS, atelier costume.

Diplômé d’un baccalauréat littéraire en 2010, Kevin Nicolini se forme à l’école de cinéma Factory où il étudie la photographie, la réalisation et la direction d’acteur. En parallèle, il cofonde en 2014 le Théâtre de l’Uchronie au sein de la compagnie Mac Guffin.

Régisseur lumière puis machiniste pour la compagnie, il écrit et met en scène en 2016 « Atlantic Cherokee Rose », spectacle pour lequel il signe également sa première création lumière.

En 2022, il conçoit la création lumière de « Voyage dans mon ventre« , adaptation des écrits de Clarissa Pinkola Estes par Véronique Balmont.

En 2023, il crée les lumières de « Big Boum Baby« , seul en scène sur la science écrit par Marie Odile Monchicourt, ancienne journaliste de Radio France.

Activités connexes :

Parallèlement à son travail théâtral, Kevin Nicolini développe une activité photographique professionnelle depuis 2018 et fonde son entreprise de photo-vidéo en 2022. Cette double expertise nourrit sa pratique de créateur lumière, qu’il exerce tant sur scène qu’en studio.

En 2021, il écrit et réalise “Scarlet FM”, court métrage sélectionné et récompensé dans plusieurs festivals internationaux.

En 2024, il fonde le collectif « Nuit Fantôme« , dédié à la photographie, au cinéma et à la mode vintage.

Quelque soit le projet, il utilise la lumière toujours dans un seul but : raconter.

Pierre-Louis Dangelser est Forgeron, fondeur et régisseur d’un domaine en Alsace.

En 2013 il débute un long chemin au sein des forces armées Françaises.

Après avoir rempli bon nombre de postes occupés il quitte l’armée en 2021.

Il se lance alors sur le chemin de Compostelle en 2022 en autonomie en partant de la cathédrale de Strasbourg.

Son chemin et son parcours le change à tout jamais.

En 2023 il commence sa reconversion dans la forge traditionnelle. Il apprend également les rudiments de la fonderie de bronze.

En 2024 il ouvre sa micro-entreprise « Champ De Lame ».

Il continue son chemin d’apprentissage en forgeant des couteaux essentiellement mais aussi des bijoux en micro fonderie.

Il entreprend pas mal de recherches afin d’aiguiser ses connaissances aussi bien théoriques que pratique qui le mène à la bijouterie.

En 2025 il se forme à la haute école de joaillerie de Paris pour affiner son savoir-faire.

Son entreprise prend à ce moment-là aussi une deuxième activité qui est celle de régisseur d’un domaine familiale en Alsace.  

Son chemin est rempli et dense. Ses activités ne cessent jamais aussi bien physique que cérébrales.

Alice Gauthier vit et travaille à Paris. Elle est diplômée en 2014 du Royal College of Art, section Beaux-Arts, à Londres, après avoir reçu les félicitations du jury à l’École Nationale des Arts Décoratifs de Strasbourg en 2012. Elle poursuit ses recherches autour de la lithographie et du livre d’artiste au Tamarind Institute d’Albuquerque au Nouveau Mexique en 2015. Ces dernières années, ses oeuvres ont été exposées à Paris, Londres, Liverpool, New-York, Nice, Marseille ou encore Vienne.

Elle explore un univers où les paysages prennent vie et deviennent des mondes habités. Ces dernières années, un nouveau langage s’est dessiné : les figures s’immergent et se confondent avec les cimes des montagnes, les ondulations des vagues ou l’épaisseur des forêts.

La matière picturale semble évoquer des racines, des arbres, des roches, comme si elle fusionnait avec la substance première de la Terre. Cette quête profonde l’amène à explorer les strates cachées de notre lien au vivant. Alice Gauthier trouve un écho puissant à cette recherche dans les œuvres de Stephen Ellcock, notamment son ouvrage Mondes souterrains, où il dévoile avec poésie une dimension cachée du monde.

Son écriture résonne avec la démarche de la peintre, évoquant des univers invisibles, enfouis sous la surface.